Préparer le concours Tremplin 1 - Quiz Questions 11 à 20 Méthode et attentes du jury Voici 10 nouvelles questions de notre quiz pour la note de synthèse du concours d’entrée en école de commerce TREMPLIN 1 : Méthode et attentes du jury 10) Les fautes de langue : A. Sont tolérées, dans une certaine mesure. B. Sont sanctionnées : on retire un point toutes les dix fautes, sans limite à la pénalité. C. Sont sanctionnées : on retire 1 point pour 3 fautes, 2 points pour 6 fautes. 11) Parmi les propositions ci-dessous, laquelle pourrait constituer le meilleur titre pour une note de synthèse ? A. Le citoyen et l’Etat B. Le citoyen contre l’Etat C. Aux armes citoyens ! D. Le citoyen doit-il se soumettre à l’Etat ? E. Le citoyen face à l’Etat : partenariat, soumission ou résistance ? 12) Parmi les formulations suivantes de la problématique soulevée par les textes du dossier laquelle est la plus efficace ? A. Nous allons voir que ce dossier nous invite à réfléchir sur l’utilité des inégalités. B. Trois philosophes libéraux américains s’interrogent chacun sur l’utilité des inégalités. C. La problématique qui se dégage du dossier est donc la suivante : « Les inégalités sont-elles utiles ? » D. Trois philosophes libéraux américains se demandent si les inégalités sont-elles justes. 13) Parmi les propositions de plan suivantes, laquelle conviendrait à un dossier constitué de trois textes d’auteurs traitant des relations hommes-femmes ? A. Un plan en deux parties : dans la première, les textes évoquant les preuves de l’égalité homme – femme ; dans une seconde partie les textes suggérant que l’égalité n’est pas encore établie. B. Un plan en trois parties : la première partie évoque la situation actuelle, sans forcément s’appuyer sur les textes ; la deuxième partie évoque les avantages qu’il y aurait à faire advenir une égalité entre hommes et femmes (avec l’appui des textes) ; une dernière partie évoquerait les obstacles à cette égalité (en s’appuyant également sur les textes.) C. Un plan en deux ou trois parties, dans lequel chaque partie évoque un point d’accord, total ou partiel entre les trois auteurs. Les parties s’organisent de façon progressive : la première est la plus évidente, la dernière la plus aboutie, la plus complexe. D. Un plan en trois parties : chaque partie résume la thèse de chacun des trois auteurs du dossier. 14) Quels sont les types de plan envisageables pour traiter un dossier de note de synthèse ? A. Le plan dialectique exclusivement (du type « thèse, antithèse, synthèse »). B. Le plan analytique exclusivement : les parties décrivent un fait, une situation, une réalité, un phénomène, un problème, sous plusieurs angles successifs : nature – fonctions – limites ; causes – manifestations – conséquences ; constat – causes – solutions ; causes – conséquences – solutions ; atouts – inconvénients – remèdes, etc. C. Le plan thématique (qui distingue plusieurs thèmes, catégories ou champs d’application, points de vue sociologique, économique, politique, environnemental par exemple) D. Soit un plan analytique, soit un plan dialectique, soit encore un plan « sur mesure, », qui emprunte aux autres types de plan, en fonction des textes du dossier et de la problématique soulevée. 15) Parmi les propositions suivantes d’introduction de la note de synthèse, laquelle est convenable ? A. La question de l’argent préoccupe les hommes et les philosophes depuis fort longtemps. C’est dans ce contexte que Max Weber, Benjamin Franklin et John Meynard Keynes dialoguent sur le thème de l’argent. On pourra dans un premier temps s’intéresser à leur évaluation de l’argent, à la dimension morale de la cupidité puis à l’alternative : efficacité économique et exigence éthique. B. La cupidité est-elle la meilleure ou la pire des choses ? L’« esprit » du capitalisme, système économique et mode de vie, est ici en jeu. Max Weber, sociologue, illustre le devoir de s’enrichir par un sermon de Benjamin Franklin au XIXe siècle. L’économiste John Maynard Keynes oppose l’efficacité économique du goût du lucre et le comportement immoral du capitaliste. Mais dès 1900, Georg Simmel avait sociologiquement analysé l’argent, dans l’échange et dans sa thésaurisation. Ces approches seront confrontées via leur évaluation de l’argent, la dimension morale de la cupidité puis l’alternative : efficacité économique et exigence éthique. C. Tous les textes du dossier évoquent le thème de l’argent et soulèvent la problématique suivante : en quoi consiste l’esprit du capitalisme ? Comment évaluer l’argent ? (I) La cupidité est-elle morale ? (II) L’alternative : efficacité économique et exigence éthique (III). 16) Parmi les formulations suivantes permettant de rendre compte de la thèse exposée dans un texte du dossier de la note de synthèse, laquelle est préférable ? A. Le grand philosophe des Lumières Jean-Jacques Rousseau dans son essai intitulé Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes publié en 1755 s’interroge sur l’origine des inégalités parmi les hommes et dans l’extrait ici proposé (texte 2) sur la notion de propriété. B. Le texte 2 parle de la propriété. C. La propriété est évoquée par Rousseau (doc. 2) D. Jean-Jacques Rousseau s’interroge dans un célèbre essai sur les origines de la propriété. 17) Si la question posée est la suivante : « Faut-il considérer la féminité comme une force ou comme une faiblesse ? » comment peut-on formuler la problématique soulevée par la question ? A. Vaut-il mieux être un homme ou une femme ? B. Doit-on considérer le fait d’être femme comme un avantage ou un inconvénient ? C. Une femme féminine a-t-elle davantage de succès qu’une autre ? D. Une femme peut-elle être aussi forte qu’un homme ? E. Le côté féminin, voire efféminé, parfois un avantage ou un inconvénient ? 18) Si la question de réflexion argumentée est la suivante : « La solitude est-elle toujours condamnable ? », comment peut-on formuler la problématique soulevée par cette question ? A. La solitude a-t-elle des mérites ? B. La solitude peut-elle être utile ? C. Doit-on condamner la solitude ? D. Solitude ou isolement ? E. La solitude, souvent assimilée à de l’égoïsme, ne peut-elle avoir une fonction philanthropique ? 19) Parmi les plans proposés, lequel répond le mieux à la question suivante : « Faut-il considérer la féminité comme une force ou comme une faiblesse ? » A. I/ La féminité est une force. II/ La féminité est une faiblesse. B. I/ La féminité est une force. II/ La féminité est une faiblesse. III/ Cela dépend des circonstances. C. I/ La féminité est une force non seulement parce qu’elle possède de nombreuses vertus intrinsèques II/ Mais aussi parce qu’elle oblige à se surpasser, pour surmonter les obstacles (misogynie, idées préconçues, habitudes et conventions sociales, etc.) D. I/ La féminité n’est ni une force, ni une faiblesse. C’est un fait. II/ La vraie question qu’il faudrait poser est la suivante : d’où viennent les inégalités entre hommes et femmes ? E/ I/ La féminité est une faiblesse, chez les femmes, qui sont plus fragiles et sensibles que les hommes. II/ C’est aussi une faiblesse chez les hommes efféminés qui se comportent de façon un peu ridicule. 20) Pour répondre à la question suivante : « Les différences de rémunération sont-elles justes ? », quel(s) plan(s) peut-on envisager parmi les suivants ? A. I. Parfois les différences de rémunération sont justes. II. Mais parfois elles sont injustes. III. Cela dépend des cas. B. I. Les différences de rémunération sont injustes. II. Mais elles existent et sont très marquées. C. I. Les différences de rémunération sont injustes. II. Il faut tout faire pour les faire disparaître. D. I. Les différences de rémunération sont justes ou du moins elles existent dans un système dont chacun connaît les règles. II. En outre la société compense dans une certaine mesure ce qu’il pourrait y avoir d’injustice au départ (école gratuite pour tous, aides, bourses pour obtenir un métier et prétendre à une rémunération convenable, etc.)