Inscrivez-vous au concours ECRICOME PRÉPA avant le lundi 13 janvier 2025.
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ECRICOME PRÉPA – HGGMC

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L’épreuve HGGMC

L’épreuve d’Histoire-Géographie, Géopolitique et Sciences Politiques (HGGMC) du concours ECRICOME PREPA vous invite à analyser les dynamiques complexes qui façonnent le monde contemporain, en mettant en lumière les enjeux historiques, géographiques, politiques et économiques des sociétés modernes.

ECRICOME, partenaire de votre réussite vous propose de consulter différents supports de préparation pour cette épreuve :

ESPRIT DE L’ÉPREUVE

1. Le choix de 2 sujets qui doivent permettre d’offrir au candidat un sujet assez généraliste (souvent articulé sur les programmes de première et deuxième année) et un sujet souvent plus régionalisé au cœur des grands enjeux géopolitiques contemporains.

2. Le choix d’un sujet associé à une carte à commenter, chaque exercice étant noté séparément (15 pour le devoir et 5 pour la carte).

3. La volonté de promouvoir la carte commentée (en lieu et place de la carte de synthèse) sur laquelle les candidats vont exercer leur sagacité, témoigner de leur capacité à aller à l’essentiel, valoriser leur sens critique et affirmer leur aptitude à dégager la portée d’un document. L’exercice désormais rodé au bout de 5 ans donne d’excellents résultats dans la sélection des copies.

4. En 4 heures le jury s’attend donc :

  • À une copie qui montre mais surtout démontre.
  • À un raisonnement qui hiérarchise les faits, relativise les données brutes, compare et pondère des jugements souvent proches de clichés (les dégâts du journalistique).
  • À un devoir où les exemples sont choisis, synthétisés et actualisés, évitent le récitatif de cours et sont mis en perspective.
  • À une rédaction qui accepte un contrat initial : 30 fautes notation sur 10 et non sur 15 du devoir.
  • À la mobilisation de toutes les composantes de la matière c’est-à-dire une dimension historique, spatiale géopolitique et économique.
  • À une utilisation personnelle de la chronologie qui accompagne souvent les sujets sans la paraphraser, sans l’intégrer forcément dans sa totalité, sans oublier de la compléter, ni de dégager les points sur lesquels la chronologie dans ses choix de dates voulait attirer l’attention du candidat.

Finalement cette épreuve est un des filtres que les Écoles de la Banque ECRICOME utilisent pour sélectionner des candidats opérationnels, pragmatiques, clairs, en phase avec l’actualité, cultivés, synthétiques, et en tout état de cause capables de distinguer l’utile du futile et d’être réactifs.

CONSEILS AUX FUTURS CANDIDATS
  • On attend des candidats une vraie problématisation des sujets qui leur sont proposés (qui se fonde sur une vraie analyse des termes du sujet, de ses bornes chronologiques et géographiques et la mise en relation de tout cela).
  • Plus les candidats sont précis dans l’annonce de leur plan à la fin de leur introduction, plus le correcteur comprend où ils veulent aller. Toutes les copies ne sont pas assez explicites de ce point de vue-là !
  • Il faut soigner les phrases d’accroche, elles doivent être en lien avec la problématisation (et pas choisies au hasard). Elles doivent aussi exister dans le commentaire de cartes, pour les mêmes raisons : c’est à leur lecture que le correcteur s’aperçoit si le sujet a été compris.
  • Un argument ne vaut que s’il est illustré par un ou des exemples précis (pas suggérés, mais expliqués, exploités).
  • Il y a bien 2 sujets au choix, dont un avec une voire deux cartes à commenter en sachant que l’exercice a une notation spécifique sur 5.
  • Les fautes d’orthographe sont sanctionnées au-delà d’un seuil de tolérance elles peuvent sanctionner automatiquement le devoir quelle que soit par ailleurs la qualité des arguments.
  • Les références bibliographiques ne sont pas nécessairement gages de succès ; encore faut-il qu’elles soient originales, précises (sans aller jusqu’au titre dans la langue natale de l’auteur et à l’année d’édition) qu’elles soient utiles, non plaquées mais adaptées à la nuance que le candidat veut apporter, qu’elles soient utilisées plus pour des exemples que pour des théorisations abstraites et qu’elles soient fertilisantes et pas roboratives…
  • Les sujets ont une épaisseur historique et que tout problème contemporain s’enracine dans le moyen et long terme à suggérer voire à développer.
  • L’absence de conceptualisation est pénalisante : l’année de prépa doit servir à capitaliser des concepts de base opérationnels : de l’ordo-libéralisme, aux politiques structurelles, de la compétitivité prix à la notion de convergence… tout un vocabulaire est à maîtriser.
  • L’usage systématique de formules médiatisées journalistiques est à proscrire la langue du café du commerce n’est pas la rhétorique de la dissertation.
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aujourd'hui 15 janvier 2025